du prieuré aux comtes

du prieuré aux comtes Pekinois

Pekinois


 


HISTOIRE DE LA RACE 
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HISTOIRE


 

HISTOIRE

Selon la légende chinoise, le Pékinois serait le fruit de l’union
d’un lion et d'une guenon!


En effet, un lion, tombé amoureux d’une guenon, était venu trouver le Patron des animaux, Ah Chu( ou dieu Hai Ho) , pour lui
demander de permettre ce mariage ; L'autorisation fut donnée, mais à
condition que le lion fit abandon de sa taille et de sa force. Le
roi des animaux, devenu tout petit, mais ayant conservé son courage
et son cœur… de lion, put alors épouser l’élue de son choix, et
leurs enfants furent les Chiens Lions de Chine, ancêtres des
Pékinois, aussi courageux et orgueilleux que leur pére le lion, et intelligent et doux que leur mére la guenon!.


 



Il est incontestable que la race est
très ancienne, car on la trouve mentionnée dans les vieux textes
chinois de Confucius et des premiers siècles de notre ère. En l’an
618, l’Empereur Kon Tzu reçut en cadeau deux de ces chiens qu’on
appelait alors chiens de Fu Lin. En 732, l’Etat ou Province de Hsin
Lo payait un tribut au Japon, comportant des oiseaux et des animaux
parmi lesquels sont décrits des Pékinois. On trouve trace de
Pékinois blancs, très rares, à l’époque de la dynastie Yaun (XIIIème
siècle). A partir de la dynastie Chien Lung, on trouve les Pékinois
définitivement installés au Palais Impérial : l’élevage en est fait
avec les plus grands soins. On commence à rechercher certaines
couleurs et certaines marques, telles que les trois fleurs : noir
autour des yeux, rouge sur le front, blanc autour de la bouche, ou
le nuage sombre au dessus de la neige, c'est-à-dire le corps noir
avec les pattes et le ventre blanc.


 


 

HISTOIRE


L’impératrice Tseu Hi qui mourut en
1908 développa encore davantage l’élevage du Pékinois et modifia un
peu son aspect en l’améliorant. On recherche une belle fourrure et
des franges aux oreilles et aux pattes, ainsi que le bouton de jade
ou point blanc au milieu du front : la tête devient plus large.
Une domesticité nombreuse ne s’occupe que des Pékinois, sous la
direction des Eunuques de la cour.

 



C’est en 1860 que se place le premier
exode du Pékinois vers l’Europe. En arrivant au Palais d’été,
abandonné par l’Impératrice, les troupes alliées trouvèrent dans une
pièce cinq Pékinois auprès de leurs « soigneurs », qui s’étaient
donné la mort. Leur couleur était d’un beau marron rouge avec
marques noires sauf une chienne Ili Tien, qui était noire et
blanche, et une autre, beige et blanc.









L’amiral Lord John Hay et un autre officier de marine anglais en
prirent chacun deux, le cinquième, le particolore beige et blanc ,
fut ramené par le Général Dunne et donné à la Reine Victoria, qui
l’appela Looty (lott signifie pillage en Anglais : la Reine avait de
l’humour). Les autres chiens de Lord Hay n’ont guère laissé de
traces dans l’élevage anglais ; par contre, l’autre paire, devenue
la propriété de la Duchesse de Richmond avec l’affixe de « Goodwood »
est à l’origine de beaucoup de pedigrees.


 

HISTOIRE



 Si vous désirez voir en images l'évolution morphologique du pékinois, rendez vous sur la rubrique "pékinois d'hier" en cliquant sur le pékinois:
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